Since 2011, the percentage of small and medium-size businesses who export goods and services has remained largely unchanged. We’re only at 12%. So guess what, we need to do better.
Mary Ng est titulaire d’un baccalauréat en science politique de l’Université de Toronto. En 1992, elle entame sa carrière au sein du ministère du Procureur général de l’Ontario. En 2003, elle devient directrice des politiques pour le ministre de l’Éducation de l’Ontario. Au cours de l’année 2006, elle se joint au bureau du président de l’Université Ryerson à Toronto. En 2008, elle devient chef de cabinet pour le député Gerard Kennedy. En 2011, elle retourne à l’Université Ryerson en tant que directrice exécutive du bureau du président. En 2015, Madame Mg est nommée directrice des nominations au cabinet du premier ministre du Canada. Suite à l’élection partielle fédérale de 2017, elle est élue députée libérale élections générale dans la circonscription de Markham-Thornhill. En 2018, elle est nommée ministre des Petites entreprises et de la Promotion des exportations. Suite à sa réélection en 2019, elle se voit également confier le commerce international.
Fiche du conférencierLa ministre Ng a débuté son allocution en rappelant les effets néfastes de la pandémie sur les exportations canadiennes, tout en soulignant leur importance pour l’économie du Canada. Elle a ensuite abordé les trois piliers de la stratégie commerciale du Canada. Le premier est de stimuler l’économie du savoir canadienne, le second est la diversification du commerce et le troisième, des échanges économiques plus inclusifs.
La discussion a ensuite porté sur le protectionnisme économique en vogue suite à la pandémie. La ministre Ng est d’avis que le pays ne devrait pas se refermer sur lui-même, mais plutôt tenter de trouver de nouveaux débouchés pour les entreprises canadiennes. Ceci permettrait à ces dernières de prendre de l’expansion tout en relançant l’économie. Elle a ensuite vanté le leadership canadien au sein de groupes internationaux tels que le G20 et le Groupe d’Ottawa afin de promouvoir un commerce international sans barrières et fondé sur les règles. Elle a également souligné l’importance pour le Canada d’être au sein de ces groupes afin d’être au premier plan quand vient le temps de négocier les régulations autour des nouveaux secteurs d’affaires, de façon à ce qu’elles soient bénéfiques pour les entreprises du pays.
Mme Leroux a par la suite amené la question du commerce inclusif. Pour la ministre, le commerce inclusif signifie d’aider les entreprises, notamment celles dirigées par des femmes, à prendre de l’expansion. Elle a également remarqué que seulement 16 % des entreprises canadiennes ont des femmes à leur tête. La ministre Ng a par ailleurs souligné certaines initiatives, telles que des investissements de 5 milliards pour l’entrepreneuriat féminin et des missions commerciales exclusivement féminines. Lorsque questionnée sur la croissance des PME, la ministre a soutenu que le virage numérique de celles-ci a été largement bénéfique et qu’il faut donc stimuler leur capacité à effectuer la transition numérique.
Le dernier segment de la conférence était dédié aux questions du public. La première de ces questions touchait les PME et la stratégie à adopter pour assurer leur viabilité à l’international. La ministre a maintenu que le gouvernement serait là pour les soutenir et a invité les entrepreneurs à consulter la liste des programmes fédéraux. La seconde question touchait les accords de libre-échange du Canada, qui semblent sous-utilisés par les entrepreneurs. La ministre a assuré que son administration a déployé d’importants efforts pour faire la promotion du libre-échange, mais que l’on peut toujours faire plus.
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