In the last 8-9 months, 180 million bank accounts have been opened across the nation [...] These accounts that were opened with a zero balance have contributed have brought 6 billion dollars from under the pillows into the banking system.
Vishnu Prakash est titulaire d’un baccalauréat en communication et d’un baccalauréat en droit. En 1981, il rejoint le Service extérieur indien. Après avoir été en charge des affaires économiques et commerciales à New York, il est nommé Consul général de l’Inde à Vladivostok, en Russie, en 1992. Il occupe, entre 1994 et 1997, le poste de directeur responsable du Népal et du Bhoutan au ministère indien des Affaires étrangères, et travaille parallèlement avec le Centre Asie-Pacifique des études sur la sécurité à Hawaï. De 1997 à 2001, M. Prakash occupe les postes de conseiller politique aux ambassades d’Inde à Tokyo, au Japon, puis à Islamabad, au Pakistan, et de ministre chargé d’affaires économiques et commerciales au Caire, en Égypte.
En 2006, il est nommé Consul général de l’Inde à Shanghaï, en Chine. En 2008, il retourne en Inde à titre de secrétaire associé et porte-parole officiel du ministère des Affaires étrangères. Il quitte ce poste en 2012 et devient ambassadeur de l’Inde en Corée du Sud. Depuis le 8 mars 2015, Vishnu Prakash assume la fonction de
Haut-Commissaire de l’Inde au Canada.
M. Prakash s’est vu décerner un doctorat honorifique en sciences de l’administration par l’Université Tongmyong de Busan, en Corée du Sud. En janvier 2014, l’Asia Society le nomme Ambassadeur de l’année.
Fiche du conférencierM. Prakash a d’abord insisté sur la complémentarité de nos deux pays et souhaité une plus étroite collaboration dans les secteurs manufacturier et des infrastructures afin d’accroître davantage les relations commerciales entre l’Inde et le Canada. Le Haut-commissaire a rappelé que l’Inde compte plus de 1,2 milliard d’habitants, dont plus de la moitié sont âgés de moins de 25 ans. Selon lui, ce facteur démographique nécessite un développement de nouvelles infrastructures qui pourrait être bénéfique à nos deux pays. De plus, selon M. Prakash, les avancées du Premier ministre indien, Narendra Modi, en matière de transparence et de lutte anti-corruption, combinées à la stabilité de la roupie indienne, font de l’Inde un choix stratégique pour les investisseurs canadiens. Pour conclure, le Haut-commissaire a fait valoir que la mobilité des populations, l’éducation, l’énergie et les infrastructures constituent les quatre piliers du développement des relations entre l’Inde et le Canada.
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